'Une journée dans la vie de... Mieke Demeulenaere, Multipharma'

MATIN

En tant que "matinale pur sang", j'aime commencer ma journée tôt, même les jours de télétravail - généralement deux jours par semaine. Après avoir regardé tranquillement les nouvelles et parcouru mes mails, je déjeune en famille, puis je me rends à la piscine du quartier pour nager des longueurs - 40 pour être précise - tôt le matin. C'est toujours un coup de fouet mental et physique, mais aussi un moment de déconnexion totale, car ce sont les seuls moments de la semaine où mon smartphone n'est pas à portée de main.

Chez Multipharma, les employés sont encouragés - notamment par le biais d'un "programme Feelgood" - à se déconnecter volontairement de temps en temps. Je ne peux qu'approuver cette initiative, car les journées de travail d'un responsable de la communication sont souvent imprévisibles et parfois très mouvementées. Pour rester concentré, il est bon de passer consciemment en mode "OFF" de temps en temps. ​ Rédiger des communiqués de presse, élaborer des plans de communication ou peaufiner le rapport annuel - des tâches que je préfère planifier les jours de télétravail - se passent toujours un peu mieux par la suite. Et l'eau est une source d'inspiration. Il n'est pas rare que mes idées les plus productives et les plus créatives me viennent pendant la baignade du matin. Les jours où je ne travaille pas de la maison, mon lieu de travail est souvent le siège de Multipharma à Anderlecht, mais pas toujours, car il m'arrive aussi d'être "sur la route".

Vers notre centre de distribution high-tech et notre centre PMI (Préparation de Médication Individuelle) à Sint-Pieters-Leeuw, par exemple, pour donner aux équipes de tournage un aperçu de la manière dont nous fournissons des "médicaments sur mesure" aux résidents des maisons de soins, tandis que notre CEO Geert Reyniers explique comment Multipharma continuera à investir dans ce domaine. Je trouve toujours fascinant de voir comment tout fonctionne comme sur des roulettes. ​

L'APRÈS-MIDI

Répondre aux questions des journalistes fait bien sûr partie du travail de porte-parole, mais il m'arrive aussi de tenir moi-même le micro et de me rendre dans les maisons de soins ou dans l'une de nos 243 pharmacies du pays pour interviewer des collègues, des patients et d'autres prestataires de soins pour une vidéo d'information expliquant l'un de nos services (par exemple, la vaccination par les pharmaciens ou les soins prodigués par nos pharmaciens dans les maisons de soins). C'est toujours très enrichissant. Le fait de travailler dans un secteur qui compte me donne l'énergie nécessaire pour passer de temps en temps à la vitesse supérieure.

Je n'ai pas la patience d'assister à de longues réunions. C'est pourquoi je préfère que les moments de concertation internes et externes soient courts et précis. Les moments de consultation avec les collègues du comité de communication du Conseil national de la Coopération, de l’Entrepreunariat social et de l’entreprise Agricole du SPF Économie (fgov.be), par exemple, sont merveilleusement clairs et précis. Dans une organisation coopérative, les priorités (en matière de communication) sont différentes de celles d'une société cotée en bourse, par exemple. L'échange d'idées avec les responsables de la communication d'autres coopératives est nécessaire et très inspirant.

LE SOIR

Je réserve mes soirées à mes proches, à ma famille, à mes amis et, le jeudi, à mon professeur de piano.

Pour les soirées de réseautage intéressantes avec d'autres professionnels de la communication, je fais volontiers une exception. L'événement du porte-parole de Belga est l'un de ces événements que je ne veux manquer sous aucun prétexte.